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30 juillet 2015 /

On commence par lister les disques détectés:

fdisk -l

Pour partitionner votre disque en ligne de commande, on utilise la commande fdisk suivie du nom du disque sur lequel vous voulez installer Linux, par exemple:

fdisk /dev/sda.

tapez m, afin d’accéder à la liste de toutes les commandes possibles.

fdisk3

On choisi les options à appliquer en entrant des lettres, généralement des initiales de ce pour quoi c’est programmé.

Les principales commandes de fdisk sont donc :

a   bascule le drapeau d'amorce
b   éditer l'étiquette BSD du disque
c   basculer le drapeau de compatibilité DOS
d   supprimer la partition
l   lister les types de partitions connues
m   afficher ce menu
n   ajouter une nouvelle partition de type linux native (ext2fs) par défaut.
o   créer une nouvelle table vide de partitions DOS
p   afficher la table de partitions
q   quitter sans enregistrer les changements
s   créer une nouvelle étiquette vide pour disque de type Sun
t   modifier l'identifiant de système de fichiers d'une partition (83 linux native, 82 linux swap).
u   modifier les unités d'affichage/saisie
v   vérifier la table de partitions
w   écrire la table sur le disque et quitter
x   fonctions avancées (pour experts seulement)

Rappel: rappelez-vous que le nombre de partitions dites primaires est limité à 4. Donc, si vous souhaitez définir plus de 4 partitions sur le même disque, l’une de ces 4 partitions primaires doit être définie comme étendue.

Pour regarder les partitions que nous avons sur notre disque, on tape  « p » dans la console :

fdisk2

On vas supprimer maintenant la partition  /dev/sdb1 comme cela :

fdisk4

Nous allons créer une partition primaire sur la totalité de l’espace:

fdisk5

Fdisk nous demande le type de partition ( » p  » pour primaire et  » e  » pour étendue):

fdisk6

Taper Entrer pour validez la valeur par defaut.

Pour sauvegarder et quitter l’utilitaire et créer la table des partitions sur le disque il suffit d’utiliser la lettre w :

fdisk7

Pour avoir une prise en compte des partitions créés sans avoir à redémarrer:

partx -v -a /dev/sdb

Si cela ne fonctionne pas, redémarrez votre machine….

Il ne vous reste plus qu’à créer le système de fichiers pour les partitions créés grâce à une commande de type mke2fs (ext2), mkreiserfs (ReiserFS), mkfs.ext4 (ext4).

Pour formater sa partition en ext3:

mkfs.ext3 -b 4096 /dev/sdb1

Pour formater sa partition en ext4:

mkfs.ext4 -b 4096 /dev/sdb1

Pour une partition swap:

mkswap /dev/sdb5

Il ne vous restera plus qu’à créer un point de montage, du genre mkdir /media/starmate, puis monter la partition dans ce répertoire, par exemple mount /dev/sdb1 /media/starmate.

29 juillet 2015 /

L’OS du Raspberry Pi fonctionnant sur une carte SD (ou micro SD), voici une solution simple qui permet de limiter les écritures afin de prolonger la durée de vie de votre carte SD.

Pour cela, nous allons utiliser l’outil Ramlog qui crée un disque temporaire en mémoire vive, où sont stockés et mis à jour les logs. Les logs originels sont conservés dans le répertoire /var/log.hdd jusqu’à l’arrêt de ramlog où à ce moment elles prennent le chemin inverse. Donc pas de perte de logs systèmes sauf bien sûr si votre ordinateur plante. Cela limite ainsi grandement le nombre d’accès en écriture sur la carte.

Pour installer Ramlog sur le Raspberry Pi :

sudo apt-get install rsync
sudo apt-get install lsof
wget http://www.tremende.com/ramlog/download/ramlog_2.0.0_all.deb
sudo dpkg -i ramlog_2.0.0_all.deb

Ensuite, editez le fichier suivant :

sudo vi /etc/init.d/ramlog

Et ajoutez ces 2 lignes suivantes dans la section #BEGIN INIT INFO (oui, avec les #):

# X-Start-Before: rsyslog
# X-Stop-After: rsyslog


Puis, éditez le fichier suivant :

sudo vi /etc/init.d/rsyslog

Ajoutez y ramlog aux 2 lignes suivantes pour qu’il ce lance au démarrage et qu’il arrête lors du démontage:
# Required-Start: $remote_fs $time ramlog
# Required-Stop: umountnfs $time ramlog

Pour activer le script au démarrage :

sudo insserv

Redemarrez le Rapsberry 2 fois:

sudo reboot

Une fois redémarré, regardez le fichier /var/log/ramlog pour vérifier que tout se passe bien :

sudo cat /var/log/ramlog

Le plus souvent, les messages d’erreur ont besoin que vous arrêtiez d’autres démons (Cups, Samba etc…) avant de lancer Ramlog.

Pour régler ce problème, on peut indiquer dans les fichiers de configuration des programmes concernés, que Ramlog doit être lancé avant qu’ils ne commencent à écrire dans les logs.

Pour Samba:

sudo vi /etc/init.d/samba

Ajoutez ramlog à la fin des 2 lignes suivantes :
# Required-Start: $network $local_fs $remote_fs ramlog
# Required-Stop: $network $local_fs $remote_fs ramlog

Pour Cups :

sudo vi /etc/init.d/cups

Ajoutez ramlog à la fin de ces 2 lignes :
# Required-Start: $syslog $remote_fs ramlog
# Required-Stop: $syslog $remote_fs ramlog

Refaites un  insserv puis redémarrez :

sudo insserv
sudo reboot

Vous avez maintenant un Ramlog opérationnel.

28 juillet 2015 /

Pour lister les partitions existantes:

parted -l

Pour créer une partition, voici la marche à suivre sur /dev/sda:

parted /dev/sda

sda correspond au disque que l’on souhaite partitionner.

Cela nous faite rentrer dans le programme parted, l’invite de commande change.

Nous allons maintenant créer le label de la partition, ici GPT:
(parted) mklabel gpt

Ensuite nous plaçons type l’unité par default à TB (GB pour Giga):
(parted) unit TB

Pour créer une partition sur le disque entier:
(parted) mkpart primary 0 0

ou pour une partition de 300 Giga:
(parted) mkpart primary 0.00TB 300.00TB

Pour afficher les partitions:
(parted) print

Pour enregistrer et quitter:
(parted) quit

Pour avoir une prise en compte des partitions créés sans avoir à redémarrer:

partx -v -a /dev/sdb

Vous pouvez maintenant utiliser mkfs.ext3 ou mkfs.ext4 pour formater la partition:

mkfs.ext3 /dev/sdb1

ou

mkfs.ext4 /dev/sdb1

27 juillet 2015 /

Cette commande utilise urandom pour générer un mot de passe de 30 caractères utilisant tous les caractères de l’alphabet (minuscule et majuscule) plus les chiffres:

echo `< /dev/urandom tr -dc _A-Z-a-z-0-9 | head -c30`

Cette commande utilise urandom pour générer un mot de passe de 30 caractères utilisant tous les caractères de l’alphabet (minuscule et majuscule) , les chiffres ainsi que les caractères spéciaux  !@#$%^&*()_ :

echo `< /dev/urandom tr -dc '12345!@#$%^&*()_A-Z-a-z-0-9' | head -c30`

Cette commande utilise la date en seconde, avec laquelle on calcule sont SHA256 que l’on transforme en base 64 et l’on affiche que les 32 premiers caractères:

date +%s | sha256sum | base64 | head -c 32 ; echo

26 juillet 2015 /

Si vous rencontrez cette erreur lorsque vous tentez de rejoindre un partage avec Nautilus, il y a deux solutions.

Soit l’installation de ce paquet règle le problème:

sudo apt-get install ubuntu-desktop

Si cela ne fonctionne pas, voici la deuxième solution:

sudo apt-get install gvfs-backends